Samedi 17 mai 2014 : Quelle belle journée en mer !

Ah, nous l’attendions cette journée ! Et ce, depuis pas mal de temps en plus ! Et voila que tous les éléments sont au rendez vous. Le soleil, le ciel bleu, les températures douce et l’absence de vent ; tout est là ! La mer est calme, pour un départ de la calle du Naye à 14h00. Notre sortie du jour s’annonce sous de bons hospices, au grand plaisir de la bonne vingtaine d’heureux plongeurs.

 
Yves (notre pilote) et Bernard (notre DP) décident de prendre la direction de la Basse Chrétienne à environ 30 – 40 minutes de navigation de Saint Malo. Le trajet passe bien vite et nous voila déjà arrivés quasiment au large de Saint Briac. L’ancre est mise à l’eau, mais nous ratons de peu la tête de roche. Une seconde tentative 50 mètres plus loin et là nous sommes pile poile au bon endroit.
 
Une fois les consignes de sécurité et d’orientation données par notre DP, les palanquées se préparent rapidement et se mettent à l’eau sans tarder. La marée à cet emplacement est légèrement en avance par rapport à Saint Malo, ce qui nous permet d’anticiper de presque une heure notre plongée. Une fois à la baille, la descente dans le bleu est rapide et nous permet de rejoindre le mouillage sur un fond rocheux à 11 mètres. L’ancre est posée bien à plat et la chaine fait un beau tour dans une faille et autour d’une grosse roche ; elle ne risque pas de riper.
 
Nous décidons de faire le tour de la tête de roche par main droite et dans le sens des aiguilles d’une montre. Jean Pierre prend la tête de la palanquée, tandis que Ronan manipule son nouvel appareil photo qu’il inaugure pour l’occasion. Notre ballade, en père peinard, se fait à fouiner dans les cailloux, les failles, les grottes et les interstices. Torche à la main, nous observons le moindre trou à la recherche des trésors engloutis. De trésor nous n’en trouverons pas. En revanche, nous aurons le plaisir de croiser sur notre chemin des vieilles, dont certaines tachetées oranges et noires très grosses (de la taille d’un mérou), des homards petits et gros (un énorme planqué dans une petite grotte à la fin de notre plongée), des dormeurs de compétition, des tacauds et des coquettes bleues/orangées. Bien cachés dans leurs trous, quelques congres nous regardent d’un œil morne en espérant sans doute que nous ne les dérangions pas trop avec nos tubas et nos flashs d’appareil photo. Un bébé congre d’à peine 10 cm de long est posé dans une faille et déjà sa physionomie ressemble comme deux gouttes d’eau à ses congénères d’un mètre cinquante. De nombreuses crevettes tranquillement posées à l’entrée de certains trous nous indiquent le chemin des conges. Ces bestioles cohabitent, le gros protégeant le petit qui en profite pour lui faire le ménage et la toilette. la nature est bien faite.
 
Sur le chemin, nous croisons d’autres palanquées. Michel et Joel y vont tranquilles ; ce dernier se familiarisant à sa nouvelle combinaison sèche qu’il a récemment acheté. Stéphane et ses deux binômes font également leur tour du cailloux sans ce presser. Ils nous ont d’ailleurs montrés le gros homard évoqué précédemment et nous les en remercions car nous serions sans doute passer devant sans le voir. Les autres moussaillons se sont éparpillés un peu partout et nous les retrouvons sur le pont du Calypso III à notre retour. Yves et son compère ont loupés le mouillage au retour et sont remontés au parachute à moins de 20 mètres du bateau ; dommage car ils ont dû passer à seulement quelques mètres de l’ancre.
 
De retour sur le bateau, nous nous changeons et dégustons quelques madeleines et gâteaux au chocolat apportées par ces dames. Une fois Bernard revenu à bord, nous reprenons la direction du port des Bas Sablons sans trop nous presser. En effet, la marée étant basse avec un coefficient déjà bien avancé, nous ne pourrons entrer dans le port qu’une fois le seuil atteint. Malgré la lenteur de notre retour, nous arrivons encore trop tôt à Saint Malo. Le seuil est à 20 cm et il nous faut au moins 1,40 mètre pour passer sans que le fond du bateau touche la barre de béton. Les plus experts nous prédisent une attente de 30 à 40 minutes ; les plus pessimistes une bonne heure à tourner dans l’eau. Yves décide de faire un petit tour dans la baie de Solidor, de passer au pied de la vierge de Bizeux et de revenir tranquillement au port. Une trentaine de minutes plutard et nous voila devant le fameux seuil qui affiche 1,30 mètre. Encore 5 minutes et nous franchissons l’entrée du port et nous mettons sans tarder au quai pour décharger le matériel. La cohue des marins du week end est à son comble, les uns et les autres venant accoster et/ou remontant leurs embarcations au cul de leur voiture. Rapidement nous déchargeons nos équipements et réembarquons tout notre Bazard dans les coffres de nos autos. Le soleil est toujours présent, il fait une chaleur estivale et ne manque qu’un apéro bien frais à l’ombre d’une terrasse de café. Cette journée a vraiment été formidable et nous nous en souhaitons encore de nombreuses comme celle là pour toute la saison.
 
Ah, nous l’attendions cette journée ! Et ce, depuis pas mal de temps en plus ! Et voila que tous les éléments sont au rendez vous. Le soleil, le ciel bleu, les températures douce et l’absence de vent ; tout est là ! La mer est calme, pour un départ de la calle du Naye à 14h00. Notre sortie du jour s’annonce sous de bons hospices, au grand plaisir de la bonne vingtaine d’heureux plongeurs.
 
Yves (notre pilote) et Bernard (notre DP) décident de prendre la direction de la Basse Chrétienne à environ 30 – 40 minutes de navigation de Saint Malo. Le trajet passe bien vite et nous voila déjà arrivés quasiment au large de Saint Briac. L’ancre est mise à l’eau, mais nous ratons de peu la tête de roche. Une seconde tentative 50 mètres plus loin et là nous sommes pile poile au bon endroit.
 
Une fois les consignes de sécurité et d’orientation données par notre DP, les palanquées se préparent rapidement et se mettent à l’eau sans tarder. La marée à cet emplacement est légèrement en avance par rapport à Saint Malo, ce qui nous permet d’anticiper de presque une heure notre plongée. Une fois à la baille, la descente dans le bleu est rapide et nous permet de rejoindre le mouillage sur un fond rocheux à 11 mètres. L’ancre est posée bien à plat et la chaine fait un beau tour dans une faille et autour d’une grosse roche ; elle ne risque pas de riper.
 
Nous décidons de faire le tour de la tête de roche par main droite et dans le sens des aiguilles d’une montre. Jean Pierre prend la tête de la palanquée, tandis que Ronan manipule son nouvel appareil photo qu’il inaugure pour l’occasion. Notre ballade, en père peinard, se fait à fouiner dans les cailloux, les failles, les grottes et les interstices. Torche à la main, nous observons le moindre trou à la recherche des trésors engloutis. De trésor nous n’en trouverons pas. En revanche, nous aurons le plaisir de croiser sur notre chemin des vieilles, dont certaines tachetées oranges et noires très grosses (de la taille d’un mérou), des homards petits et gros (un énorme planqué dans une petite grotte à la fin de notre plongée), des dormeurs de compétition, des tacauds et des coquettes bleues/orangées. Bien cachés dans leurs trous, quelques congres nous regardent d’un œil morne en espérant sans doute que nous ne les dérangions pas trop avec nos tubas et nos flashs d’appareil photo. Un bébé congre d’à peine 10 cm de long est posé dans une faille et déjà sa physionomie ressemble comme deux gouttes d’eau à ses congénères d’un mètre cinquante. De nombreuses crevettes tranquillement posées à l’entrée de certains trous nous indiquent le chemin des conges. Ces bestioles cohabitent, le gros protégeant le petit qui en profite pour lui faire le ménage et la toilette. la nature est bien faite.
 
Sur le chemin, nous croisons d’autres palanquées. Michel et Joel y vont tranquilles ; ce dernier se familiarisant à sa nouvelle combinaison sèche qu’il a récemment acheté. Stéphane et ses deux binômes font également leur tour du cailloux sans ce presser. Ils nous ont d’ailleurs montrés le gros homard évoqué précédemment et nous les en remercions car nous serions sans doute passer devant sans le voir. Les autres moussaillons se sont éparpillés un peu partout et nous les retrouvons sur le pont du Calypso III à notre retour. Yves et son compère ont loupés le mouillage au retour et sont remontés au parachute à moins de 20 mètres du bateau ; dommage car ils ont dû passer à seulement quelques mètres de l’ancre.
 
De retour sur le bateau, nous nous changeons et dégustons quelques madeleines et gâteaux au chocolat apportées par ces dames. Une fois Bernard revenu à bord, nous reprenons la direction du port des Bas Sablons sans trop nous presser. En effet, la marée étant basse avec un coefficient déjà bien avancé, nous ne pourrons entrer dans le port qu’une fois le seuil atteint. Malgré la lenteur de notre retour, nous arrivons encore trop tôt à Saint Malo. Le seuil est à 20 cm et il nous faut au moins 1,40 mètre pour passer sans que le fond du bateau touche la barre de béton. Les plus experts nous prédisent une attente de 30 à 40 minutes ; les plus pessimistes une bonne heure à tourner dans l’eau. Yves décide de faire un petit tour dans la baie de Solidor, de passer au pied de la vierge de Bizeux et de revenir tranquillement au port. Une trentaine de minutes plutard et nous voila devant le fameux seuil qui affiche 1,30 mètre. Encore 5 minutes et nous franchissons l’entrée du port et nous mettons sans tarder au quai pour décharger le matériel. La cohue des marins du week end est à son comble, les uns et les autres venant accoster et/ou remontant leurs embarcations au cul de leur voiture. Rapidement nous déchargeons nos équipements et réembarquons tout notre Bazard dans les coffres de nos autos. Le soleil est toujours présent, il fait une chaleur estivale et ne manque qu’un apéro bien frais à l’ombre d’une terrasse de café. Cette journée a vraiment été formidable et nous nous en souhaitons encore de nombreuses comme celle là pour toute la saison.
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